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The Amazing Spider-Man 2

The Amazing Spider-Man 2

Dans ce deuxième épisode, Peter Parker est devenu le friendly neighborhood Spider-Man, héros de New York. Il a de la difficulté à tenir sa promesse envers le père de Gwen (de la laisser hors de sa vie héroique qui lui attirera des ennemis). Des ennemis, il s’en fera de très puissants et il devra affronter Electro, Green Goblin et, (selon la bande-annonce et les affiches du films), Rhino.

Intérêt

Spider-Man! Ce serait difficile d’éviter d’aller voir la plupart des films de Marvel. Au cours des dernières années, seule la médiocrité des deux premiers films de Fantastic Four a réussi cet exploit.

La bande-annonce vue en Imax 3D m’avait plutôt convaincu, le film semblait riche en scène d’action de qualité avec une bonne utilisation de la 3D.

Une fois sorti, le film a des critiques mitigées et le film n’obtiendra qu’un Metascore de 53%, une chute de 13% comparativement au premier Amazing Spider-Man. En comparaison, c’est équivalent au score obtenu par Thor: The Dark World, mais quand même un bon 10-12% au-dessus des Fantastic Four.

Le casting est plutôt intéressant:  Jamie Foxx (Django Unchained), Emma Stone (Easy A) et Dane DeHaan (le compagnon « warg » de Bran dans Game of Thrones, et le vilain dans Chronicle)…

Verdict

Une grande qualité du film: la qualité de ses scènes d’action. Contrairement à Captain America qui utilisait la technique de la caméra qui shake (pas toujours, mais souvent) dans ses scènes d’action, ici on obtient des vues d’ensemble de scènes d’action complètement disjonctées, au ralenti même pour qu’on puisse bien voir toute l’agilité et la puissance de Spider-Man. C’est sûr que Spider-Man a cet avantage de pouvoir être recréé entièrement en CGI, et de toute évidence Andrew Garfield n’a pas eu à recréer cette chorégraphie de mouvements impossible dans la majorité des films. Il n’en demeure pas moins que c’est beau à voir, unique surtout dans cette ère de scènes d’action à la caméra qui shake (qui fonctionne rarement efficacement), et j’en ai profité pour m’en rincer l’oeil. Spider-Man, en tant que film d’action, est vraiment amusant. Marc Webb a su rendre les scènes amusantes ou touchantes et romantiques lorsqu’il le fallait, et palpitant lorsque c’était le temps. Les acteurs sont tous sur la note, sauf peut-être le personnage joué par Jamie Foxx qui a été créé un peu trop cartoonesque, mais Jamie a rendu très bien ce personnage créé un peu moins bien…

Ce qui fait défaut à Spider-Man relève de son scénario mal ficelé et bourré de trous invraisemblables. Les vilains sont un peu trop cartoonesques et bien qu’on ne tombe pas exactement dans le style de vilain de Spiderman 3 ou du vieux Batman & Robin, on est pas très loin de traverser la ligne qui tomberait dans cette lignée ridicule, et ça fait peur pour l’avenir. Un autre aspect décevant est que le film nous construit longuement  un contexte vers lequel on s’attend à un combat épique débile, sauf qu’une fois rendu là, aussi plaisantes que puissent être les scènes qui nous sont livrées, ça ne dure pas très longtemps.

Il y a aussi un autre élément un peu navrant: la bande-annonce nous induit en erreur! Il y a des scènes de la bande-annonce qui ne se retrouvent carrément pas dans le film: 1) celle où Harry dit à Peter qu’il est sous surveillance et Peter demande pourquoi, Harry répondant « Isn’t that the question of the day ». 2) Harry Osborn auprès de son père malade, lui demandant « what about Peter », son père lui répondant « Not everyone has a happy ending ». Ces deux séquences fortes de la bande-annonces ne se trouvent pas dans le film, et bien qu’on pourrait croire que la première a été coupée au montage, la scène avec le père n’aurait aucun sens dans le film au moment où ça se passe, ce qui laisse à penser que la scène a été créée spécifiquement pour la bande-annonce! Et puis il y a l’importance donnée à Rhino dans la bande-annonce et sur les affiches. Tout s’annonçait pour avoir Spider-Man qui affronte ces trois vilains en même temps. Ne vous faites pas cette attente, Rhino a un rôle très marginal dans le film.

Dans ce deuxième épisode, Peter Parker est devenu le friendly neighborhood Spider-Man, héros de New York. Il a de la difficulté à tenir sa promesse envers le père de Gwen (de la laisser hors de sa vie héroique qui lui attirera des ennemis). Des ennemis, il s’en fera de très puissants et il devra affronter Electro, …

Aperçu Avis

Ambiance
Récit
Acteurs
Plaisir général

Zip-zip!

Résumé : Splendides scènes d'actions, divertissant.

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68

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